FATIMA ALAOUI
Première femme au MAROC ayant créé un parti politique au MAROC : le parti des VERTS pour le Développement
Membre élue titulaire en 2014 de la coordination mondiale des VERTS
Secrétaire général réélue du parti des VERTS MAROC
Présidente du Forum Maghrébin pour l’environnement et le Développement
ONG dotée du Statut Consultatif auprès de l’ ECOSOC des Nations Unies
Fondatrice de l 'Université verte africaine 2009 2010 et 2011 2012 2013 2014 2015 à Rabat à l'école supérieure de l"industrie minière ENIM Rabat
FATIMA ALAOUI
Présidente Agence de recherches d'information et de formation pour les femmes ; ARIFF Comité des femmes marocaines pour le développement : CFMD Forum maghrébin pour l'environnement et le développement 1989 Succes Story PNUE une femme deux arbres un arbre pour l'environnement un arbre pour le bois de chauffe Médaille d'or de la FAO Campagne retour aux couffins retour aux sources lutte contre les sacs en plastique noir Campagne un jour sans voiture Fondatrice du prix international de Marrakech pour l’écologie et le développement durable 98 Communications en plénières de Fatima Alaoui lors des conférences internationales des Nations Unies Nairobi 85 , RIO92 Pékin 95 Istanbul Habitat II 96 Mexico 98 : les conflits dans le monde Nairobi 98 New York Nations Unies Objectifs du millénaire et femmes 2000 Canberra2001 Johannesburg 2002 Paris 2006 femmes et politiques ; UNESCO 8 mars Symposium du Caire Juin 2006 sur le changement climatique Université des Nations Unies Université verte africaine 2009 2010 et 2011 Rabatp://forummaghrebinenviron
Parties de rien arrivées à zéro? Les chemins perilleux et heureux ou les livres réquisitoires de FATIMA ALAOUI
Parties de rien arrivées à zéro
Fatima Alaoui
Editions de l'ère nouvelle
J'ai lu ce livre plus de trois fois en arabe et en français. Très important pour tous les écologistes
Parties de rien arrivées à zéro
par Fatima Alaoui
Le parcours de la fondatrice du mouvement les Verts marocains.
Il est question, du Maroc, de l’Afrique toute entière et de questions d’écologie.
« Le seul contrat auquel je suis fidèle, c'est celui que j'ai scellé avec moi-même pour connaître et dire la vérité le jour où j'ai reçu un éclat de plomb d'une bombe en pleine jambe gauche devant l'école primaire à Marrakech. Avec cet éclat d'explosifs, je peux dire que la politique a pénétré en moi avec chaleur. Ma vie s'est dessinée à partir de ce jour du mois d'août 1953 pour faire de moi la femme que je suis. » Fatima Alaoui
À propos des activités de l'auteur LIRE AUSSI
L’arbre sans racines ou Je ne suis que journaliste .PARU en 1982
Le journalisme n'ayant comme racines que les événements : leurs rythmes nous font vivre nous autres journalIstes et leurs chemins périlleux ou heureux nous déterminent note FATIMA ALAOUI dans l'épilogue
Maudit soit le jour où tu as décidé de devenir journaliste ainsi débute le premier livre politique de l'écologiste Fatima Alaoui écrit et imprimé sous pression en 1982 aux éditions de l'Ere nouvelle à Rabat On ne veut pas de femme journaliste On ne veut pas de femme politique Où finit et où commence la politique ?
En une centaine de pages et quatre chapitres chemins Fatima ALAOUI DRESSE un sévère tableau de société maniant tour à tour la litote la périphrase le sous entendu elle progresse à pas lents entre les chemins semés d'embûches qui relatent la véritable libération des peuples du tiers monde dans les chemins heureux /Tunisie Jamaïque Mexique , un plaidoyer féministe et la lutte des femmes marocaines dans les chemins périlleux et houleuxet les repères du chemin qui offrent un matériau sociologique sur les usages et coutumes et la symbiose entre juifs musulmans et chrétiens relaxant une enfance à Marrakech
Fière et insoumise Tels sont les mots qui définissent le mieux Fatima Alaoui, fondatrice du Parti National des Verts pour le développement et présidente du forum Maghrébin pour l’environnement et le développement.
Jeune diplômée en communication de développement elle s’engage dans les combats environnementaux et produira de nombreux ouvrages et monographies sur le Maroc. Tout au long des années, elle parcourt le monde et les forums mondiaux à Nairobi, Pékin ou encore Paris où elle fait des rencontres qui changeront son existence et guideront son combat. C’est justement après le forum de Rio en juin 1992 que né le parti vert au Maroc, une « troisième voie » selon Fatima Alaoui. Émanation de la société civile et des associations écologistes, le parti plaide pour une démocratie responsable et véritable dans un Maroc où la jeunesse crie son désespoir. Les combats environnementalistes sont aussi au centre de l’attention des Verts, ces derniers sont actuellement très vigilants sur les ressources forestières et halieutiques . Alors que le pays change et se modernise, il apparaît essentiel pour Fatima Alaoui que les ressources naturelles soient dans les mains des populations locales pour qu’ils changent eux même le visage de leurs régions.
« Un jour, alors que comme à mon habitude je dérangeai les gens, on m’a dit de retourner dans mon douar [village], ni une ni deux c’est ce que j’ai fait » nous déclare Fatima Alaoui. Pendant plusieurs mois, elle a, comme elle le dit si bien, créé la pépinière sur laquelle allait grandir le parti des Verts au Maroc. En allant à la rencontre des gens dans les régions les plus reculées ou au cœur de la Médina de Rabat, Fatima Alaoui a tissé des amitiés qu’elle décrit avec émotion, « allez en Médina, parlez de Fatima Alaoui aux femmes qui vendent des crêpes vous verrez ce qu’on a fait ensemble ! ». Que ce soit dans les quartiers pauvres de la capitale ou à Mohamedia pour le lancement de son parti, les marocains n’ont cessé de la suivre et de lui apporter leur soutien malgré les pressions et les arrestations.
Quand on lui parle du Printemps Arabe, Fatima Alaoui remet ses lunettes noires et nous raconte, avec beaucoup de sincérité et d’humanité qu’elle se reconnaît dans ces jeunes insoumis. C’est avec un trémolo émouvant qu’elle nous parle du mouvement du 20 février, le chef d’orchestre des mobilisations sociales qui traversent le Maroc. "Un jour, Oussama Khalifi, « le Ché de Salé » est venu me voir pour me raconter son histoire (…), c’est celle d’un jeune homme qui s’est indigné devant les avantages matériels dont bénéficiait un ministre originaire de son quartier. Passé à tabac, il est devenu une icône, un insoumis comme je l’ai été ». Soutenant ce mouvement et allant même jusqu’à défiler avec eux dans les rues malgré les pressions du Palais pour qu’elle « ne sorte pas », Fatima Alaoui montre chaque jour son attachement aux causes qui comptent.
Fatima Alaoui s’est imprégnée des pratiques politiques pour éviter les pièges du pouvoir. Toujours prête à manifester aux côtés des étudiants chômeurs, des manifestants du 20 février ou des pêcheurs de Dakhla, elle est certainement cette reine de cœur que le royaume attend.
Fière et insoumise Tels sont les mots qui définissent le mieux Fatima Alaoui, fondatrice du Parti National des Verts pour le développement et présidente du forum Maghrébin pour l’environnement et le développement.
MARCHE DES FEMMES pour les droits13AVRIL2014
Dans son bureau, non loin du parlement et de la célèbre Avenue Mohammed V de Rabat, elle porte sur les traits de son visage le poids des combats, des années passées à lutter pour la Démocratie, l’environnement et le bonheur d’être encore aujourd’hui une femme qui ne fait pas la politique mais qui la vit au quotidien. Fatima Alaoui est une femme forte qui résiste aux coups qu’on lui a si souvent portés. Jamais elle n’a flanché, jamais elle n’a pensé abandonner ceux qui la suivent pour un poste que d’autres se seraient arrachés. Presque invincible, elle a su tenir tête au plus grands du royaume, à ceux qui comme le puissant ministre de l’intérieur Driss Basry dans les années 1980 voulaient l’affaiblir et la réduire au silence. Jeune diplômée en communication de développement elle s’engage dans les combats environnementaux et produira de nombreux ouvrages et monographies sur le Maroc. Tout au long des années, elle parcourt le monde et les forums mondiaux à Nairobi, Pékin ou encore Paris où elle fait des rencontres qui changeront son existence et guideront son combat. C’est justement après le forum de Rio en juin 1992 que né le parti vert au Maroc, une « troisième voie » selon Fatima Alaoui. Émanation de la société civile et des associations écologistes, le parti plaide pour une démocratie responsable et véritable dans un Maroc où la jeunesse crie son désespoir. Les combats environnementalistes sont aussi au centre de l’attention des Verts, ces derniers sont actuellement très vigilants sur les ressources forestières et halieutiques . Alors que le pays change et se modernise, il apparaît essentiel pour Fatima Alaoui que les ressources naturelles soient dans les mains des populations locales pour qu’ils changent eux même le visage de leurs régions.
« Un jour, alors que comme à mon habitude je dérangeai les gens, on m’a dit de retourner dans mon douar [village], ni une ni deux c’est ce que j’ai fait » nous déclare Fatima Alaoui. Pendant plusieurs mois, elle a, comme elle le dit si bien, créé la pépinière sur laquelle allait grandir le parti des Verts au Maroc. En allant à la rencontre des gens dans les régions les plus reculées ou au cœur de la Médina de Rabat, Fatima Alaoui a tissé des amitiés qu’elle décrit avec émotion, « allez en Médina, parlez de Fatima Alaoui aux femmes qui vendent des crêpes vous verrez ce qu’on a fait ensemble ! ». Que ce soit dans les quartiers pauvres de la capitale ou à Mohamedia pour le lancement de son parti, les marocains n’ont cessé de la suivre et de lui apporter leur soutien malgré les pressions et les arrestations.
Quand on lui parle du Printemps Arabe, Fatima Alaoui remet ses lunettes noires et nous raconte, avec beaucoup de sincérité et d’humanité qu’elle se reconnaît dans ces jeunes insoumis. C’est avec un trémolo émouvant qu’elle nous parle du mouvement du 20 février, le chef d’orchestre des mobilisations sociales qui traversent le Maroc. "Un jour, Oussama Khalifi, « le Ché de Salé » est venu me voir pour me raconter son histoire (…), c’est celle d’un jeune homme qui s’est indigné devant les avantages matériels dont bénéficiait un ministre originaire de son quartier. Passé à tabac, il est devenu une icône, un insoumis comme je l’ai été ». Soutenant ce mouvement et allant même jusqu’à défiler avec eux dans les rues malgré les pressions du Palais pour qu’elle « ne sorte pas », Fatima Alaoui montre chaque jour son attachement aux causes qui comptent.
Fatima Alaoui s’est imprégnée des pratiques politiques pour éviter les pièges du pouvoir. Toujours prête à manifester aux côtés des étudiants chômeurs, des manifestants du 20 février ou des pêcheurs de Dakhla, elle est certainement cette reine de cœur que le royaume attend.
Date : 10-06-2011
www.anciela.info/contain/article.php?id_art=120
Rubrique : Militants de la terre : des élus et des militants engagés
http://perso.menara.ma/~lesvertsmaroc/dans les riads, la lutte pour l'indépendance les morts la première femme tuée FATIMA zahra
et les événements de CASA en 1965 et surtout les chemins sexistes de la presse et de la politique au MAROC L’arbre sans racines est un réquisitoire aigre doux qui suinte à chaque page a soulevé les foudres des interpellations et intimidations qui ont marqué le chemin de la première femme qui a créé dans la douleur le premier parti politique écologiste au MAROC et qui continue à lutter en 2014http://www.pvdmaroc.sitew.com/#_.Ahttp://www.pvdmaroc.sitew.com/#_.Ahttp://perso.menara.ma/~lesvertsmaroc/http://perso.menara.ma/~lesvertsmaroc/http://books.google.co.ma/books?id=3jA4AAAAIAAJ&hl=fr&source=gbs_navlinks_http://books.google.co.ma/books?id=3jA4AAAAIAAJ&hl=fr&source=gbs_navlinks_shttp://www.dailymotion.com/video/x3m0ve_video-
Fondatrice de l 'Université verte africaine 2009 2010 et 2011 2012 2013 2014 2015 à Rabat
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